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La fécondation, heure de vérité.

 

Cette publication a pour but d’informer sur la réalité des évènements de la fécondation et corriger ainsi les fausses informations, anciennes et machistes, encore présentes à notre mémoire.

 

L’œuf fécondé n’est pas la première étape de la vie car les cellules féminines et masculines (ovule et spermatozoïde) se préparent auparavant.

 

L’ovule et le spermatozoïde interagissent grâce à la polarisation de leurs systèmes fonctionnels. Cette polarisation s’observe en premier lieu avec leur propre vitesse de production, un ovule arrivant à maturation sur un ovaire tous les deux mois tandis que les testicules fabriquent 600 spermatozoïdes par secondes.

 

Ensuite, leur rencontre se produit du fait de systèmes qui s’opposent.

 

L’ovule est entouré d’un gel pellucide, il est large et sphérique, en suspension immobile et dynamique tout à la fois. Le spermatozoïde est fin, en déplacement linéaire permanent et actif, pauvre en cytoplasme et mitochondries.

 

Il faut oublier les images déviantes qui ont décrit cet instant avec un ovule passif se laissant transpercer et pénétrer par un spermatozoïde guerrier, survivant d’une colonie de frères courageux qui se sont sacrifiés pour lui, et devenant ainsi le vainqueur conquérant. Ces images ont pollué l’esprit des relations entre la femme et l’homme.

 

Les propriétés de ces deux cellules créent une polarité : la rencontre de l’ovule et des spermatozoïdes se fait en douceur, en puissance et en beauté.

 

L’ovule est comme en suspension dans un espace liquidien et les spermatozoïdes se rassemblent autour de lui, dessinant ainsi une représentation solaire. Lorsque les cellules mâles sont au contact, il se produit le début d’un mouvement de rotation de l’ensemble. Ce mouvement ressemble à une révolution planétaire et lui permet de cheminer vers la paroi de l’utérus où l’œuf s’implantera.

Ces moments sont accompagnés d’un nouveau phénomène de polarisation de l’ensemble qui permet à un des spermatozoïdes d’être capté par l’ovule.

 

Aucun des protagonistes ne sait à l’avance à quel endroit une porte d’entrée va s’ouvrir. Son ouverture est la fécondation, instant sacré où l’espace s’emplit du souffle de vie.

 

Sources :

  • Jouhaud Patrick – Embryologie et Ostéopathie – enseignement embryosteo©
  • Bleschmidt Erich – Comment commence la vie humaine– Ed Sully – 2011
  • Van Der Waal Jaap – L’Homme, embryon entre ciel et terre– Ed Sully 2018

 

 

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C’est l’histoire d’une sciatique guérisseuse…

 

Cyril, 35 ans, gynécologue, souffre d’une sciatique gauche depuis environ deux mois.

Le trajet douloureux est grosso modo celui de L5. Il n’y a aucun signe neurologique.

Les examens complémentaires sont normaux.

Les traitements médicamenteux sont inefficaces.

 

Le diagnostic ostéopathique lui permet de prendre conscience des différences de sensation dans son corps, et notamment d’une inertie du bassin comme suspendu sous le thorax, le reste du corps étant libre.

 

Cette sensation est confirmée par le toucher ostéopathique qui ajoute la perception d’une densité particulière au niveau de la trame osseuse du sacrum.

 

Le traitement commence et le travail se focalise immédiatement vers le sacrum, jusqu’à ce que Cyril évoque un traumatisme physique à 7 ans, celui d’une chute à califourchon sur un portail qu’il était en train de franchir malgré l’interdiction de ses parents.

Cette interdiction fut alors inductrice du non-dit de cet accident et du silence imposé sur cette douleur.

 

Les tissus locaux deviennent rapidement libres et respirent.

Pourtant, lorsque mes mains se placent au contact de la tête, le lien du corps ne se fait pas et la zone périnéale devient une zone de fuite, comme un puit sans fond.

… un non-dit…

 

C’est alors que les bulles du passé viennent éclater à la surface du présent.

Elles éclairent l’esprit de Cyril dont le corps commence à respirer librement en ouvrant les retenues d’un souvenir insupportable, celui d’attouchements et agressions sexuelles à 4 ans.

Il comprend, il voit tout, y compris le pourquoi de son métier et la raison de ses douleurs.

 

En lisant cette histoire à travers les tissus du corps, je peux dire que cette sciatique est une fissure dans un corps en défense.

L’enfant n’a pu confier sa souffrance, et, lors de sa maturation neurologique à 7 ans, a trouvé le moyen de créer un bouclier de protection par l’intermédiaire de cette chute au décours d’un geste interdit.

 

Cela veut dire qu’un symptôme doit ouvrir nos mains de thérapeutes bien au-delà de la zone en souffrance. Cela veut dire qu’il faut quitter les concepts de restriction, de lésion ou dysfonction et utiliser le diagnostic ostéopathique aux fins de reconnaître les différentes sensations exprimées par le corps et l’esprit de nos patients.

Cela implique de leur donner de l’espace ainsi qu’une dimension anamnestique, et accorder autant d’importance à chacune des informations perçues.

 

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Les cicatrices toxiques

Nicolas, jeune adolescent sportif, développe une scoliose lombaire et se plaint de lombalgies et douleurs de jambes, de crampes. Ses antécédents médicaux font apparaître une intervention chirurgicale rénale. Son ventre présente 2 cicatrices horizontales. Son bassin se développe en vrille autour de l’une d’elle.

Mme Z…, 53 ans, vient de subir une intervention pour cure de hernie ombilicale par voie cœlioscopique. Elle présente depuis, des vertiges. Une cicatrice de 2 cm la gêne.

Mr P…, 55 ans, souffre de lombalgies et parfois de sciatique. Il a été opéré 3 ans auparavant pour une hernie discale. La cicatrice est profonde et encore colorée.

Mme D…, 61 ans, a mal partout dans son dos depuis longtemps et rien ne la soulage. Sa vie est émaillée d’interventions chirurgicales et son corps « tatoué » de cicatrices.

…/…

La liste serait longue de toutes ces consultations où les symptômes sont provoqués par une cicatrice.

En fait, la peau a la même origine embryologique que le cerveau. Toute blessure de celle-ci peut créer un réflexe qui viendra perturber les mécanismes de contrôle de la posture. Lorsque ces mécanismes sont désynchronisés, c’est tout le corps qui va mal (voir article « La lombalgie autrement »).

Un traitement ostéopathique tissulaire de ces cicatrices en supprime la toxicité posturale. Dans tous les cas de figure, les symptômes disparaissent et la vie peut reprendre un cours normal.

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Intention

Un peu de philosophie …à propos de l’intention…

Toucher est un geste délicat, non dénué d’innocence, qui met en lien deux êtres communiquant dès lors, avec leur inconscient. Un de mes enseignants exprime l’idée qu’il y a là, rencontre d’agrégats de cellules inconscientes.

Cela se comprend, mais je préfère garder une unité psychocorporelle qui fait que cette rencontre est à la fois, consciente et inconsciente, quelles qu’en soient leurs proportions, et, qu’elle est provoquée par une intention. Dans mon métier, celle de soigner et d’être soigné.

La main, dans cette action de toucher, est l’émettrice de ce qui se passe dans la tête de celui qui touche. Le receveur devient alors soumis à cette émission.

Qu’y a-t-il dans les pensées du toucheur ? Qu’y a-t-il dans celles du touché ?

Une part de la réponse est dans le mot « intention ». Avoir une intention en touchant implique vouloir faire, et sous-tend l’idée de modifier en fonction de sa pensée. La réalité en ostéopathie est que l’intention ne doit pas être celle du thérapeute mais celle du corps soigné.

Plusieurs traitements ces jours derniers avec des bébés m’ont conforté dans cette idée. Leur corps entre mes mains se positionne pour me montrer où et comment se présente leur problème. Le corps sait alors ce dont il a besoin pour se repositionner correctement, et se libérer de tensions douloureuses, voire, faire un chemin inachevé avant ou pendant la naissance comme se retourner par exemple. Là est l’intention du touché.

Il suffit simplement de le guider avec des mots, des encouragements, un accompagnement du geste.

La pensée, et donc la main du toucheur, est alors présente et attentive, dénuée d’intention.

Elle sera thérapeutique en se soumettant à l’intention du touché.

 

 

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Comprendre autrement la lombalgie

Il est toujours étonnant de constater que l’on peut se faire mal au dos en soulevant une charge lourde autant qu’en ramassant le stylo que l’on vient d’échapper, de voir arriver au cabinet un sportif en bonne forme, en pleine possession de sa masse musculaire, victime d’un lumbago en laçant sa chaussure tandis qu’une personne de 70 ans aura bêché son jardin et charrié des brouettes de gravas sans se faire mal.

Allons plus loin…nous connaissons tous quelqu’un, ayant souffert du dos, ayant été traité (médicaments, infiltration, élongations, chirurgie si nécessaire, rééducation et musculation, manipulations…), qui récidive sans cesse ce même problème.

Que se passe-t-il dans le corps, les muscles, le dos ?

On évoque alors l’incompétence du thérapeute, un problème psycho-émotionnel, le stress de notre société, l’alimentation, le climat, la lune, et bien d’autres choses encore.

Voici une autre lecture, tellement évidente, qu’elle va vous surprendre.

Nos muscles ont deux activités.

L’une dite phasique, correspond à la masse musculaire acquise par le sport, une rééducation chez un kiné, la vie active, bref, toute activité physique. C’est une partie de nos muscles qui évolue au cours de notre vie et sera de toute manière différente pendant l’enfance, la vie adulte et le vieillissement.

L’autre activité est dite tonique. C’est une part musculaire acquise à l’âge de six ans qui reste constante (sauf dérèglement ou accident) jusqu’à la mort. Cette activité est chargée de maintenir et contrôler notre posture par rapport à la gravité. Elle est issue de la transformation d’un système neuromusculaire dit primitif présent à la naissance, en un système évolué et stable à partir de 6 ans.

Cette activité peut être testée. Si elle est équilibrée, le même tonus apparaîtra chez l’enfant de 6 ans, l’athlète surentraîné, un gringalet, un vieillard. Si les tests montrent une anomalie de ce tonus postural, par exemple, l’athlète se fera mal au dos en permanence tandis que son ami gringalet sera en permanence au top de sa forme si ses tests sont normaux.

Cela veut dire qu’avant de s’intéresser à la musculation, il faut tester et traiter si nécessaire l’activité tonique musculaire.

L’Ostéopathie est un outil majeur de dépistage et de traitement lorsqu’existe une dérégulation de cette activité de synchronisation de la posture.

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Les différentes techniques utilisées en ostéopathie

L’étudiant en ostéopathie apprend un certain nombre de techniques. Elles lui permettent d’acquérir une connaissance élargie d’un savoir-faire qui se bonifiera avec l’expérience. Ces techniques sont comme des outils qui viennent remplir une mallette ; le thérapeute devra savoir utiliser le bon outil au bon moment.

Les techniques ostéopathiques se décomposent en deux grandes familles :

 

  • Les techniques structurelles directes et indirectes.

 

– Les techniques structurelles directes utilisent la notion de barrière précédemment citée en dirigeant les tissus vers la barrière de la dysfonction.

 

Ce sont des techniques articulaires : H.V.B.A. (Haute Vélocité Basse Amplitude), B.V.H.A (Basse Vélocité Haute Amplitude), inversion de paramètres ou bien des techniques musculaires, T.O.G. (Technique ostéopathique Général), SCS (technique de pression et d’appui musculaire), R.P.I. (Relâchement Post Isométrique).

 

– Toujours par rapport à la barrière, mais cette fois ci en aidant les tissus à se déplacer vers la barrière physiologique et non plus vers la barrière de restriction, ce sont les techniques structurelles indirectes.

 

Elles peuvent être articulaires (Techniques de Maigne), elles peuvent être d’équilibration ligamentaire, ou bien encore d’inversions de paramètres. Elles peuvent également être musculaires et cela comprend à nouveau le T.O.G. et des techniques de relâchement myofascial.

 

L’association de techniques ostéopathiques allant dans le sens direct et dans le sens indirect, l’indication posturale, l’âge du patient, le plan thérapeutique de l’ostéopathe, et bien d’autres choses encore… créent une infinité de possibilités.

 

 

  • Les techniques fonctionnelles.

 

– Les techniques fonctionnelles vont toujours dans le sens du mouvement d’aisance tissulaire et sont basées sur la respiration. C’est ici une notion fondamentale de l’écoute manuelle.

 

Les différentes techniques utilisées par l’ostéopathe s’inscrivent dans un plan thérapeutique élaboré après un diagnostic médical puis ostéopathique et prennent en compte le patient dans sa globalité.

 

Toutes ces techniques nécessitent un long apprentissage et beaucoup d’expérience.

 

Il existe parfois quelques réactions secondaires passagères (douleurs et courbatures, fatigues et somnolences, euphories, …). Ces réactions n’excédent en général pas deux ou trois jours et cessent spontanément.

 

Les accidents sont rarissimes (1 sur 2 000 000 d’actes).

 

Un intervalle de trois à six semaines, voire trois mois est toujours nécessaire entre deux traitements ostéopathiques.

 

 

 

EN CONCLUSION

 

Un traitement ostéopathique nécessite un diagnostic médical préalable indispensable, suivi d’un diagnostic ostéopathique qui permettra d’élaborer un traitement ostéopathique.

 

Ce traitement ostéopathique fait partie intégrante de différentes possibilités thérapeutiques mises à la disposition des médecins.

 

L’ostéopathie nécessite une parfaite connaissance de l’anatomie, de la biomécanique et des techniques.

 

La prescription de l’ostéopathie nécessite la connaissance des différents acteurs du paysage ostéopathique français, de leurs champs de compétence respectifs réglementés, et des responsabilités de chacun.

 

Les techniques spécifiques sont sans danger.

Il s’agit d’un traitement non médicamenteux de la douleur.

Par une action rapide et un coût moindre, le traitement permet de soulager un patient avec peu ou pas d’arrêt de travail.

C’est une thérapie active en prévention et en santé publique.

 

 

 

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Indications et contre-indications de l’ostéopathie

 

Les indications de l’ostéopathie comportent toutes les affections mécaniques de la colonne vertébrale (lombalgies, dorsalgies, cervicalgies chroniques ou aiguës, douleurs vertébrales projetées…).

 

Egalement sont concernées par un traitement ostéopathique les affections mécaniques articulaires périphériques (entorses, tendinites, capsulites…)

Autres indications : les névralgies d’origine mécanique (douleurs inter costales, cervico-brachiales, sciatiques, névralgie de Arnold, syndrome des scalènes, canal carpien…).

 

Toute indication d’un traitement ostéopathique nécessite un diagnostic médical préalable. Ce diagnostic est essentiel avant d’envisager de traiter en ostéopathie des troubles de l’équilibre, des céphalées, des acouphènes, des affections de l’articulation temporo-mandibulaire et les syndromes d’algodystrophie de l’articulation manducatrice (SADAM), ainsi que toutes les souffrances du nourrisson.

 

Il faut noter également des indications à visée préventive dans tous les domaines de la posturologie, les raideurs post fracturaires, les maladies rhumatismales en dehors des poussées inflammatoires, les insuffisances respiratoires, les affections O.R.L., certaines affections circulatoires, digestives et gynécologiques.

 

Enfin il s’agit d’un traitement de choix à caractère préventif chez les sportifs, les musiciens, les travailleurs avec mouvements répétitifs ou station immobile prolongée.

Ces indications peuvent nécessiter une consultation une à deux fois par an, ou après un traumatisme ; on peut retrouver de telles indications en obstétriques (lombalgie de la femme enceinte, dystocie de présentation), ou après un accouchement.

 

Les contre-indications absolues à un traitement ostéopathique sont :

– L’absence du consentement du patient et l’existence d’un diagnostic médical de contre-indication.

 

Il existe également des contre-indications relatives.

 

Cependant l’ostéopathe expérimenté est capable d’utiliser différentes techniques et cela lui permet d’adapter son traitement à la pathologie diagnostiquée, ainsi qu’à l’âge du patient.

Une technique articulaire pourra être interdite là où une technique musculaire réglera le problème.

à suivre…

 

 

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mais qu’est-ce que l’ostéopathie?

 

 

L’enseignement ostéopathique que j’ai reçu est basé sur une notion fondamentale et majeure d’écoute des tissus du corps avec les mains. Cela permet un diagnostic et facilite un traitement qui ne contrarie jamais les mouvements inconscients du corps.

 

On appelle cela une technique indirecte ou encore ostéopathie fonctionnelle. Pour mieux comprendre, voici un exemple pris dans le quotidien.

Vous avez soif, vous prenez un verre et une carafe d’eau. Vous versez une partie de l’eau dans le verre. Il y a dans cet événement une structure « carafe », une structure « verre », une structure « eau ». Ces trois structures sont alignées par vos mains, votre bras, votre corps qui établissent ce geste et qui vont remplir le verre avec l’eau provenant de la carafe. Dans ce mouvement vous réalisez un événement que vous avez programmé. Un événement pour lequel vous avez eu l’intention de faire ce geste.

Vous allez remplir le verre jusqu’à un certain seuil, soit par rapport à votre soif, soit par rapport au bord du verre.

 

Le geste thérapeutique manuel suit exactement ce même processus : entre l’intention du thérapeute et l’utilisation des mains par rapport à ce qu’il a l’intention d’écouter et de faire avec ses mains.

 

Si les mains sont importantes pour un ostéopathe, elles prennent une importance capitale lors du travail avec les bébés. Celui-ci va s’exprimer avec son langage corporel : son comportement, ses réactions, son positionnement sont autant de renseignements à interpréter, décoder puis utiliser.

Elles se placent, attendent, écoutent ce langage.

Elles ont une immobilité active et présente. Elles se fondent dans la forêt des tissus du corps, comme un chasseur à l’affût de son gibier.

Elles sont prêtes à recevoir ce que le bébé voudra ou pourra donner.

à suivre…

 

 

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Bébés d’Ostéopathe

Qu’est ce qu’un enfant ?

 

Un enfant est transparent.

Un enfant est innocent.

 

On peut toujours faire un jeu de mots avec « transparent » et « transparentalité ».Cela évoque la notion d’héritage génétique et familial.

Toutefois, considérons que l’enfant qui vient de naître est issue d’un œuf translucide. Il faut noter ici que l’embryon humain est le seul de la création à bénéficier de cette qualité.

De plus, sa constitution est essentiellement hydrique (90% de son poids).

La transparence de l’enfant nouveau né est à la fois physique, psychique et spirituelle ; elle va de pair avec sa fluidité.

 

Mais qu’est ce que l’innocence ?

L’innocence est la capacité à faire confiance. C’est un don véritable, inné chez les enfants dès leur naissance.

La majorité d’entre nous perdent cette capacité dès la première tromperie ou la première déception.

Malgré cela, la grandeur de l’Homme réside dans sa capacité à donner et redonner encore sa confiance.

 

Le besoin d’être reconnu est fondamental chez l’homme.

C’est un passage obligé pour chaque être humain.

Etre reconnu équivaut à la phrase « je te fais confiance ».

 

Nous avons une fois dans notre vie cette capacité à se donner (transparence) et à faire confiance (innocence), le jour de notre naissance. Je propose de rencontrer tous les naissants avec ce regard.

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Un métier passionnant pour un homme passionné

J’ai crée au printemps 2011 mon blog ostéopathique, complémentaire à docosteo. L’objectif est de partager mon expérience, mes réflexions sur mon métier et les techniques manuelles, ma philosophie de la vie, tant avec quelques textes, quelques histoires de consultations, et une galerie de photos à partager.

Docteur en Médecine, Diplômé en Ostéopathie, je me suis consacré à la médecine d’urgence, puis à la médecine générale (cabinet libéral en secteur rural), avant de créer en 1990 le Pôle de Médecine Ostéopathique du 5 rue Sainte Claire à Limoges.

J’ai travaillé avec les grands noms européens et nord-américains de l’ostéopathie qui m’ont transmis leur passion, l’intelligence des traitements, les subtilités de l’enseignement.

Chargé de cours à l’Université de Bordeaux 2 depuis 2001, mon activité d’enseignant et de conférencier se développe progressivement .
Aujourd’hui, outre mon activité libérale et universitaire, je préside l’Association Périgord Limousin d’Ostéopathie, et m’investit dans des actions humanitaires au Cambodge.

Je suis aussi, l’ostéopathe de Guillaume Moreau.

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